2010年9月8日星期三

Le groupe Casino veut mutualiser ses SI--Organisat

Le distributeur stéphanois Casino a annoncé aujourd'hui un projet de réorganisation visant à mutualiser les fonctions support entre ses chaînes d'hypermarchés et ses supermarchés (Franprix, Leader Price) en France. Présenté à la fin novembre aux instances de représentant du personnel, le plan prévoit notamment la création d'un comité de direction unique pour les fonctions support, dont l'IT. Avec pour objectif de dégager des "synergies" sur les actions de promotion,nike shox pas cher, la politique de fidélisation,prada chaussure, les assortiments, etc. Autant de points clefs fortement liés aux applicatifs métier du distributeur.

Si le regroupement semble aussi viser l'amélioration de l'efficacité de la supply chain (où le distributeur a mis en place le progiciel Gold d'Aldata), l'opération paraît cibler particulièrement la fidélisation client. Sur ce terrain, signalons que le groupe stéphanois a signé, il y a trois ou quatre ans,ugg prix, un accord de partenariat exclusif avec la société anglaise spécialisée dans le marketing Dunnhumby,tn air, qui fait suite à un projet pilote lancé en novembre 2005. Dunnhumby s'est fait un nom avec le système de fidélité Clubcard grâce auquel, en partie,pascal coste, Tesco est devenu numéro un de la grande distribution en Grande-Bretagne, en lieu et place de Sainsbury. Objectif affiché alors par Casino : mettre en place les algorithmes permettant d'interpréter les données sous lesquelles "croulait" le distributeur, selon les termes de son Pdg à l'époque.

Dans son communiqué du jour, Casino explique : "le partenariat avec Dunnhumby a constitué un atout important dans la stratégie de commerce de précision du groupe, en lui permettant d’analyser les comportements d’achat de ses clients et de construire une offre commerciale adaptée à chaque type de client, au niveau de chaque magasin". Dunnhumby a fait sa réputation sur la segmentation fine des bases de clients.

Résultats - Logica profite de la force de l'outso

Avec un recul de son chiffre d'affaires limité à 3 % sur l'année à périmètre constant (à 4,1 Md€) Logica signe une année 2009 certes peu enthousiasmante, mais aussi relativement solide. La décroissance enregistrée par le Britannique reste ainsi légèrement inférieure à celle d'Atos-Origin ou à celle de Capgemini. Comme déjà signalé au cours de l'année,fer ghd, la santé de la SSII doit beaucoup à sa branche outsourcing (37 % de l'ensemble de l'activité) qui progresse de 9 %, tandis que les activités plus cycliques de conseil et d'intégration accusent, elles, un recul de 10 %. La marge opérationnelle du groupe reste, elle, quasi-stable à 7,nike shox noir,4 %. Autre facteur de "résistance" : la baisse de la Livre Sterling, monnaie dans laquelle Logica publie ses comptes annuels.

En France, la SSII termine l'année avec un chiffre d'affaires de 873 M€, soit une décroissance de 2 % sur un an. Ce qui témoigne d'une fin d'année assez dynamique. A l'automne la filiale connaissait une décroissance de 5 %. De facto, selon Logica, la France a retrouvé le chemin de la croissance en fin d'année, portée notamment par la signature du contrat ONP (Opérateur National de Paie). La marge,louboutin paris, en léger recul,vibram france, y atteint 7,5 %. Fruit du rachat d'Unilog, l'implantation du groupe dans l'Hexagone - seconde géographie de Logica derrière les pays nordiques - est notamment portée par la progression de l'outsourcing, qui gagne 19 % par rapport à 2008.

En Grande-Bretagne, où Logica progresse de 6 % sur un an, l'activité est soutenue par le relatif dynamisme du secteur public, qui pèse plus de 60 % du total. Un risque pour la SSII, le gouvernement britannique ayant manifesté sa volonté de réduire ses dépenses IT. "Nous nous attendons à un ralentissement des prises de décision du secteur public britannique en 2010", reconnaît d'ailleurs Logica dans un communiqué. Avant d'ajouter : "Malgré les pressions des gouvernements européens pour réduire les dépenses, nous continuons à détecter des opportunités à moyen terme pour réduire les coûts via l'outsourcing".

Le groupe s'attend à une première moitié de 2010 toujours en décroissance, mais à un exercice qui, au global, devrait afficher une stabilité par rapport à l'année écoulée. Fin 2009, Logica employait 38 800 personnes environ, 1 100 de moins qu'un an auparavant. "Ce recul est avant tout le résultat de nos actions pour réduire les effectifs non facturables",ghd lisseur, précise la société. En France, les effectifs se sont allégés de 250 personnes (à 8 880). Et 13 % des effectifs de la SSII sont désormais localisés dans des pays low cost.

Techdays 2010 - Hitachi Data Systems propose une s

Hitachi Data Systems (HDS), la division stockage d'entreprise du Japonais Hitachi, a profité de la conférence utilisateurs française de Microsoft pour présenter sa solution de continuité et de reprise après désastre pour l'environnement virtuel Hyper-V 2.0 de Microsoft,louboutin shoes, Hitachi Storage Cluster - lancé initialement pour la version 1.0 d'Hyper-V en 2009.

Comme toute bonne solution de continuité venant d'un grand du stockage,basket air jordan, Hitachi Storage Cluster pour Hyper-V, s'appuie sur les solutions de réplication de données maison (TrueCopy, True Copy Extended Distance ou Hitachi Universal Replicator) ce qui permet aux administrateurs de répliquer leurs données de façon synchrone ou asynchrone entre sites dispersés. Mais ce qui différencie vraiment Hitachi Storage Cluster de ses concurents est l'intégration avec l'environnement d'administration d'Hyper-V pour assurer la cohérence entre les fonctions de réplication et les fonctions de migration de VM qu'offre Hyper-V (et notamment la bascule automatisée et transparente des ressources disques pour les VM). En schématisant, on peut ainsi dire que Hitachi Storage Cluster ajoute à Hyper-V des fonctions similaires à celles de Site Recovery Manager pour VMware

Intégrée à l'environnement d'administration des machines virtuelles de Microsoft,mbt odeon, Hitachi Storage Cluster permet d'initier le failover transparent des machines virtuelles situés sur un site primaire vers le site de secours en cas d'incident (et accessoirement le Fail Back,louboutin, après retour à la normale et resynchronisation des baies). Cette intégration a d'ailleurs été montrée par la firme conjointement avec Microsoft et la Maaf. La mutuelle a en effet adopté la solution pour assurer la continuite de ses environnements virtualisés sous Hyper-V R2 entre ses deux sites principaux.

Il est à noter que la solution d'Hitachi fonctionne à la fois avec les baies haut de gamme de la série USP-V (Universal Storage Platform) et avec les baies modulaires AMS (Adaptable Modular Storage).